6 informations pour mieux comprendre l’éjaculation féminine
Le sexe féminin reste mystérieux car par nature il se cache aux regards. Découvrez tout ce qui concerne l’éjaculation féminine et les femmes fontaines.
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Origine de « femme fontaine »
L’image de la fontaine est celle d’un écoulement sans fin, abondant, sans retenue, sans variation. Alors qu’une éjaculation est au contraire brève, sous pression, saccadée, dans la contrition. Le seul élément positif dans l’utilisation de ce terme est qu’il rappelle l’eau pure, ni une urine colorée et odorante.
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La composition de l’éjaculât
Pour le moment, la médecine n’a pas encore su répondre clairement. Quelques recherches ont débouché sur l’hypothèse que l’éjaculât serait composé d’une part du liquide produit par les glandes para-urétrales, et d’autre part d’une sorte de « pré urine » claire due à un dysfonctionnement de l’appareil urinaire lors de l’orgasme. Mais tout cela n’est qu’hypothèse…
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Point G, point P et éjaculation féminine
A priori les femmes disposent toutes d’une prostate féminine et sont toutes en capacité anatomique d’éjaculer.
Chez les hommes, le massage de la prostate peut susciter un certain plaisir. D’où l’apparition récente de sex-toys masculins appelés « spécial point P » à insérer dans l’anus. Le point P, c’est le « point prostate ».
Les hommes qui ont des pratiques anales (qu’ils soient hétérosexuels ou bien homosexuels) ont compris depuis longtemps que la sodomie et autres pratiques de même nature pouvaient stimuler leur prostate et déclencher ainsi une jouissance supplémentaire que ne peuvent connaître les femmes.
Dans l’anatomie féminine, il est possible que ce soit ce massage prostatique au niveau du point G qui déclenche les orgasmes à dominante vaginale et les éjaculations.
Pour en savoir plus, vous pouvez également visionner cette vidéo réalisée par une sexto-thérapeute :
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L’éjaculation féminine d’un point de vue anatomique
Si l’éjaculation féminine n’est pas un mythe, quelle en est donc l’explication anatomique ?
Le liquide est produit par des glandes para urétrales (situées de part et d’autre de l’urètre) appelées également glandes de Skene (du nom du gynécologue américain Alexandre J.C. Skene).
Ces glandes composent une prostate féminine, sorte d’équivalent à l’état atrophique de la prostate masculine. Les femmes, comme les hommes, éjaculeraient grâce à l’existence d’une « mini prostate » d’un poids de l’ordre de cinq grammes environ, soit un cinquième du poids de la prostate masculine (près de vingt-cinq grammes).
Malgré cette différence de taille, ces deux prostates seraient structurées de la même manière. La prostate féminine est située le long de l’urètre, probablement à proximité de la zone sensible dite « point G ». Le fonctionnement de cette prostate est le même que chez les hommes : production de l’éjaculât, acheminement par des canaux, et expulsion par l’urètre.
L’éjaculation féminine se produit souvent par excitation du clitoris. Le clitoris, constitué de tissus érectiles, est l’un des accessoires personnels permettant d’accéder à l’orgasme le plus facilement du monde, parfois même sans stimulation directe.
Il est composé de deux parties : la partie externe, « le gland du clitoris », est d’une taille allant de trois à six millimètres au repos, et jusqu’à dix millimètres en état d’excitation. Le gland est recouvert du « capuchon » ; Cette partie externe est située au point de jonction supérieur des deux nymphes, « en haut » de la petite fente, quand une femme se regarde debout devant une glace.
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À quoi bon éjaculer ?
L’éjaculation féminine permet d’exprimer corporellement l’atteinte d’un point culminant que les gémissements ne suffisent plus à exprimer. C’est la manifestation d’un plaisir tellement puissant qu’il dépasse.
Au-delà de l’extraordinaire plaisir physique que cela apporte, c’est également une gigantesque satisfaction psychologique au sein du couple amoureux, qu’il soit hétérosexuel ou lesbien. Le ou la partenaire, lorsqu’il/elle est préalablement mis au courant de l’existence de ce phénomène chez sa partenaire, est généralement ravi de cette manifestation physique de l’orgasme féminin.
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La phase post éjaculatoire :
Une suite de contractions et de relâchements des muscles du périnée et du vagin, espacés d’une durée de 0,9 secondes environ. Quelques secondes avant cette série de contractions, le plaisir envahit le corps tout entier.
Pour aller plus loin : Si vous avez des questions sur le Point G, vous pouvez les poser dans les commentaires ci-dessous :
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